samedi 8 mars 2008
Jeudi 21 février, matin : sortie sur le House Reef
Nous revoilà! Nous avons encore du mal à nous lever, le décalage horaire n'est pas assimilé...
Douche, petit déjeuner... et nous nous retrouvons à la réception pour notre première sortie de plongée (toujours du snorkeling). Je stresse un peu car j'ai peur que l'on aille à un endroit où il y a du courant: nous ne sommes pas des palmeurs émérites... il est noté sur la feuille de l'excursion "pour bons nageurs uniquement", aie, aie... puis je remarque enfin qu'il est noté aussi "âge minimum 5 ans"! Je me rassure alors car je nage mieux qu'un enfant de 5 ans, tout de même!!! [comment se stresser en vacances pour rien... appelez-moi!]
Nous sommes accompagnés par Robert de nouveau (vous savez, le bellâtre qui ne parle pas français) et des Maldiviens. Nous nous éloignons sur un dhoni: nous en profitons pour finir de nous tartiner de crème. Il donne les instructions pour la plongée (en anglais). Nous vérifions aussi le bon fonctionnement du petit appreil waterproof que nous avons mis recharger cette nuit... Ils arriment finalement le bateau à une corde fixe (pour ne pas abîmer le corail avec une ancre, je suppose). Nous nous préparons à plonger. Soit on descend par une échelle, soit on saute. J'opte pour la solution "sauter", ainsi je ne fais pas un bouchon sur l'échelle, si jamais j'hésitais à entrer dans l'eau... (hihi). Benoit saute aussi, l'appareil à la main! Erreur fatale!!!!! Nous nous rendons compte rapidement que l'appareil ne s'allume plus. Nous essayons tous les deux, sans résultat! Vous pouvez imaginer la fureur de Benoit! Nous n'avons donc pas suivi le groupe, nous nageons de manière libre dans le coin. C'est magnifique, même si le corail est essentiellement mort. Mais nous voyons bien plus de poissons, c'est merveilleux! Il n'y a pas de courant, comme je le craignais; ils ont même proposé des gilets pour les personnes qui craignent de nager sous l'eau.
Le temps passe très vite, d'autant plus que nous en avons perdu beaucoup à essayer de faire marcher l'appareil. Nous n'en profitons pas pleinement...
Tout d'un coup, nous apercevons la plupart des personnes qui remontent sur le bateau. Nous rentrons aussi, bien qu'il nous semble être tôt. En effet, nous nous rendons compte qu'il n'est que 11h10 (la sortie est prévue jusque midi, et nous ne sommes pas bien loin de l'île). Nous repartons alors. C'est drôle: les filles se font toutes sécher au soleil à l'avant du bateau, pendant que les hommes rangent les affaires, regardent leurs photos (pas nous, malheureusement!), se sèchent, assis sur les bancs, à l'ombre. Cela fait rire Benoit, d'autant plus qu'il remarque que Robert semble apprécier d'avoir tout ce harem à ces pieds! (pffffff) Moi, je ne remarque rien, ni la répartition des personnes, ni la réaction de Robert... Je me prélasse juste au soleil. Nous apprenons finalement que le bateau repart car la majorité des personnes sont remontées dessus: mais on n'avait pas compris! sinon, on aurait été beaucoup à rester un peu plus dans l'eau. Un seul traîne, le capitaine fait ronfler le moteur pour qu'il rentre. Il rentre effectivement très rapidement (c'est un bon nageur, lui!)
Bilan de la sortie: Une belle sortie qui ne coûte que 6 dollars par personne: elle permet de voir bien plus de poissons, même si le corail n'est pas très beau. Mais elle nous a coûté un appareil! nous sommes très déçus car nous n'avons pu faire des photos que de choses insignifiantes par rapport à ce que l'on va pouvoir admirer ensuite! Pfffffff Nous avons dû mal refermer le clapet de la batterie (il y avait peut-être des grains de sable qui ont gêné l'étanchéité) ou bien c'est juste la surpression du saut qui l'a tué! Nous espérons qu'il sèchera peut-être d'ici la fin du séjour... hum.
Zen, avons-nous dit en début de séjour!
[donc pas de photos pour cet article!]
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1 commentaire:
hahahaha, Véro et les coups de stress (en même temps je fais tout le temps ça, lol, se stresser pour rien).
Tu sais comme j'aime faire des photos, alors oui je compatis, j'aurais eu la haine aussi de voir mon appareil me lâcher comme ça sans rien pouvoir faire! O rage! O désespoir!
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